Étiquette : Cours de danse africaine

Danse africaine, Nature et Bien-Être au château du Val Richer en juin 2019

Alphonse Tierou nous présente, en vidéo, la deuxième édition du stage « Danse africaine, Nature et Bien-Être ». Elle a lieu les 21, 22 et 23 juin 2019 au château du Val Richer, un haut lieu patrimonial situé en Normandie.

Venez vivre cette expérience unique de partage, de joie et de convivialité, dans les bras de la nature, aux sons de la nature et des percussions africaines !

Chercheur, chorégraphe, pédagogue et écrivain, Alphonse Tierou est considéré comme une référence mondiale dans l’enseignement de la danse africaine.

Plus d’informations : sur le site tierou-doople.com

Pour Noël, offrez du Bien-Être

Pour Noël, offrez du Bien-Être avec la danse africaine méthode Tierou !

Noël

Offrez un cadeau original !

Au choix, un stage de découverte ou 6 mois de bien-être !

– le stage de Danse africaine et Bien-Être de fin d’année.

Accessible à toutes et tous, ce stage est une occasion rêvée pour découvrir ou redécouvrir la danse africaine.

Un voyage par le mouvement, au rythme des percussions.

Date du stage : le vendredi 23 décembre 2016
de 17h à 20h

Lieu : La Métisse – 123 rue de Tocqueville – Paris 17. Métro Villiers ou Wagram.

Tarifs réduits pour les élèves inscrits à l’année, pour les étudiants et pour les groupes (à partir de 3 personnes).

Il est vivement conseillé de réserver (contacts ci-dessous).

 

– 6 mois de Bien-Être avec la danse africaine méthode Tierou

Pour offrir ou s’offrir un cadeau très spécial, pourquoi pas un abonnement de six mois aux cours de danse !

De janvier à juin 2017 : 8 cours par semaine !

Consultez les horaires et lieux des cours : en cliquant ici.

Cours et stages animés par Alphonse TIEROU, référence mondiale en matière d’enseignement de la danse africaine. Accompagné de percussions live.

 

Pour plus d’informations, contactez-nous au 06 84 07 10 38 ou par notre formulaire de contact.

Venez vivre et partager le plaisir de la danse!

Le Centre Dooplé / Association Dooplé-Danse

Cinq idées reçues sur les cours de danse africaine

tambour_parleur

Tambour parleur (photo Centre Dooplé/RPRCA)

Nous entendons beaucoup d’idées reçues sur les cours de danse africaine. Nous en partageons quelques-unes avec vous, démystification à l’appui.

 

  1. Un bon professeur de danse est un initié

Que veut dire ce mot « initié », cheval de bataille des spécialistes de la culture africaine ? L’expérience montre que, souvent, c’est un mot employé pour camoufler l’ignorance. Permettez-moi de vous affirmer que, dans la culture africaine, une même danse peut être profane ou initiatique. Tout sera fonction du lieu, du moment et aussi de l’intention de l’auteur de la danse, voire chef du village ou de famille, etc.

 

  1. Un bon percussionniste de danse doit être formé par des griots

Savez-vous que le terme « griot », créé par un curé pour les peuples d’Afrique, est on ne peut plus péjoratif ? Lisez Paroles de masques. Un regard africain sur l’art africain.

Un bon percussionniste de danse est un tambourinaire qui traduit instantanément les pas de danse en notes de musique. Cette technique et ce talent s’acquièrent au travers de nombreuses années d’études et de pratique.

 

  1. Un bon percussionniste de danse sait faire parler son tambour

Ne pas confondre percussions de danse et drummologie ! Je vous renvoie aux travaux du célèbre professeur Niangoran-Bouah de l’université d’Abidjan. Un drummologue n’est ni un musicien de concert, ni un percussionniste de danse. C’est un maître qui fait parler le tambour. Chez certains peuples, il est le troisième personnage du royaume, voire de l’État.

 

  1. L’ethnologie aide à comprendre la danse africaine

Un ethnologue ou un anthropologue n’est ni un artiste-danseur ni un chorégraphe, ni même un théoricien de la danse africaine. Son approche de la culture africaine est autre. Savez-vous que l’ethnologie est une discipline née sous la colonisation ? Savez-vous aussi qu’elle était au service de la propagande coloniale (Le Monde des 9 et 10 avril 2000) ?

Rappelons que, pour l’enseignement de la danse classique à l’Opéra de Paris, on ne se réfère ni aux ethnologues ni aux anthropologues français et/ou européens, mais à des chorégraphes comme Pierre Beauchamp (XVIIe siècle), ou à de grands artistes – danseurs et danseuses, comme Marie Taglioni (1804-1884). La danse est une discipline artistique à part entière. Dans l’absolu, elle se suffit à elle-même. Autrement dit, elle n’a pas besoin d’aller chercher, dans d’autres disciplines, la théorie de la danse. Sur la théorie et sur la pratique de la danse africaine, je vous invite à lire Alphabet de la danse africaine.

 

  1. Nommer les danses donne du sens. Par exemple, « la danse de la séduction » des jeunes femmes

Exemple éloquent. Pouvez-vous me décrire ce qui caractérise cette danse de séduction ? Chez beaucoup de peuples africains, les jeunes femmes et les jeunes gens déclarent leur flamme par la danse. C’est dire que ce type de danse ne concerne pas que les jeunes femmes. Cette expression « danse de la séduction » non seulement est impropre, mais elle a été créée par des ethnologues et anthropologues qui aiment bien donner des noms aux actes africains.

Alphonse TIEROU

ATTENTATS. Transformons la Douleur, Dansons la vie

 photo ciel oiseaux

« L’oiseau chante même si la branche sur laquelle il est perché craque, car il sait qu’il a des ailes. » José S. Chocano

L’Histoire nous apprend que, depuis les débuts de l’Humanité, la danse est pratiquée comme une voie on ne peut plus efficace pour surmonter les moments douloureux.

Par exemple, en Europe, aux temps des révolutions, la danse retrouve son originelle vigueur qui affirme la VIE en extériorisant son énergie.

En Afrique, certains peuples dansent sur le champ de bataille, juste après la bataille, pour affirmer l’éternité de la VIE.

En raison des attentats meurtriers qui ont frappé notre beau pays, je donne GRATUITEMENT un cours spécial de danse africaine le mercredi 25 novembre 2015, de 19h à 22h, pour aider celles ou ceux qui le désirent, à transformer la souffrance, à retrouver la joie, le bonheur et le goût de vivre.

Ce cours se déroulera au 11, avenue Vavin – 75006 Paris (impasse privée située à hauteur du N°86 de la rue d’ASSAS). Métro : Vavin / Port-Royal / Luxembourg / Notre-Dame-des-Champs.

– Venez nombreux

– Parlez-en autour de vous.

– Venez avec vos proches.

– Invitez vos amis et vos collègues.

– La vie doit continuer coûte que coûte.

Danser, c’est vivre.

Danser, c’est rester debout.

Danser, c’est dire NON à la haine.

Danser, c’est dissoudre la peur en nous.

Danser, c’est laisser la paix divine remplir notre âme.

Danser, c’est participer au mouvement cosmique et à sa maîtrise.

Danser, c’est prendre son envol dans un ciel ruisselant de lumière.

Danser, c’est refuser de céder à la panique, au doute, à l’angoisse, à la tristesse, à l’anxiété, à la PEUR.

La danse africaine, c’est la vie.

Alphonse Tierou

Chercheur-Chorégraphe-Écrivain.

 

Quand Néfertiti s’invite dans la danse africaine !

Saviez-vous que l’on peut s’inspirer des grandes civilisations africaines pour créer des chorégraphies !

NéfertitiL’Afrique a connu de grands empires, des rois et des reines, qui ont marqué leur temps et qui résonnent encore dans notre imaginaire collectif.

Imaginez des cours, des stages des spectacles de danse africaine qui sortent des sentiers battus. Ils sont le fruit d’une recherche en danse qui se nourrit des civilisations égyptienne et de l’Afrique subsaharienne.

Par exemple, il y a des cours de danse consacrés :

– à la reine Néfertiti célèbre pour sa beauté légendaire et épouse d’Akhenaton (1372-135 AV JC), roi appartenant à la XVIIIe dynastie (1580-1320 AV JC) ;

– aux mystères d’Osiris (Dieu de l’ancienne Égypte, époux d’Isis et père d’Horus) ;

– aux piquiers avec boucliers de bois et de cuir (première période intermédiaire 2200-2060 AV JC) ;

– aux archers nubiens (même période) ;

– à la gestuelle révélée par les temples et monuments égyptiens ;

– à l’empereur Soundiata Kéïta (Empire du Mali XIII-XVe siècle) ;

– à l’agbadja à la Cour du roi Justin Aho à Abomey en 1954 ;

– à la gestuelle révélée par les Kmin des Glaé ou Masques de Sagesse ;

– au bâton, symbole de souveraineté, de puissance et de commandement, tant dans l’ordre intellectuel et spirituel que dans la hiérarchie sociale.

Un tel enseignement nous rend sensible à cette pensée du Masque africain :

« En matière d’art, le Beau n’est que la saillie de l’utile. »

On est loin, très loin des cours, stages et spectacles de danse africaine qui font croire que la création chorégraphique africaine passe nécessairement par l’imitation, la copie ou la parodie des danses classique, moderne ou contemporaine. Oui, la création existe en danse africaine.

Pour plus d’informations sur la danse africaine méthode Tierou, retrouvez-nous sur www.tierou-doople.com.

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