Catégorie : Danse africaine

ATTENTATS. Transformons la Douleur, Dansons la vie

 photo ciel oiseaux

« L’oiseau chante même si la branche sur laquelle il est perché craque, car il sait qu’il a des ailes. » José S. Chocano

L’Histoire nous apprend que, depuis les débuts de l’Humanité, la danse est pratiquée comme une voie on ne peut plus efficace pour surmonter les moments douloureux.

Par exemple, en Europe, aux temps des révolutions, la danse retrouve son originelle vigueur qui affirme la VIE en extériorisant son énergie.

En Afrique, certains peuples dansent sur le champ de bataille, juste après la bataille, pour affirmer l’éternité de la VIE.

En raison des attentats meurtriers qui ont frappé notre beau pays, je donne GRATUITEMENT un cours spécial de danse africaine le mercredi 25 novembre 2015, de 19h à 22h, pour aider celles ou ceux qui le désirent, à transformer la souffrance, à retrouver la joie, le bonheur et le goût de vivre.

Ce cours se déroulera au 11, avenue Vavin – 75006 Paris (impasse privée située à hauteur du N°86 de la rue d’ASSAS). Métro : Vavin / Port-Royal / Luxembourg / Notre-Dame-des-Champs.

– Venez nombreux

– Parlez-en autour de vous.

– Venez avec vos proches.

– Invitez vos amis et vos collègues.

– La vie doit continuer coûte que coûte.

Danser, c’est vivre.

Danser, c’est rester debout.

Danser, c’est dire NON à la haine.

Danser, c’est dissoudre la peur en nous.

Danser, c’est laisser la paix divine remplir notre âme.

Danser, c’est participer au mouvement cosmique et à sa maîtrise.

Danser, c’est prendre son envol dans un ciel ruisselant de lumière.

Danser, c’est refuser de céder à la panique, au doute, à l’angoisse, à la tristesse, à l’anxiété, à la PEUR.

La danse africaine, c’est la vie.

Alphonse Tierou

Chercheur-Chorégraphe-Écrivain.

 

Quand Néfertiti s’invite dans la danse africaine !

Saviez-vous que l’on peut s’inspirer des grandes civilisations africaines pour créer des chorégraphies !

NéfertitiL’Afrique a connu de grands empires, des rois et des reines, qui ont marqué leur temps et qui résonnent encore dans notre imaginaire collectif.

Imaginez des cours, des stages des spectacles de danse africaine qui sortent des sentiers battus. Ils sont le fruit d’une recherche en danse qui se nourrit des civilisations égyptienne et de l’Afrique subsaharienne.

Par exemple, il y a des cours de danse consacrés :

– à la reine Néfertiti célèbre pour sa beauté légendaire et épouse d’Akhenaton (1372-135 AV JC), roi appartenant à la XVIIIe dynastie (1580-1320 AV JC) ;

– aux mystères d’Osiris (Dieu de l’ancienne Égypte, époux d’Isis et père d’Horus) ;

– aux piquiers avec boucliers de bois et de cuir (première période intermédiaire 2200-2060 AV JC) ;

– aux archers nubiens (même période) ;

– à la gestuelle révélée par les temples et monuments égyptiens ;

– à l’empereur Soundiata Kéïta (Empire du Mali XIII-XVe siècle) ;

– à l’agbadja à la Cour du roi Justin Aho à Abomey en 1954 ;

– à la gestuelle révélée par les Kmin des Glaé ou Masques de Sagesse ;

– au bâton, symbole de souveraineté, de puissance et de commandement, tant dans l’ordre intellectuel et spirituel que dans la hiérarchie sociale.

Un tel enseignement nous rend sensible à cette pensée du Masque africain :

« En matière d’art, le Beau n’est que la saillie de l’utile. »

On est loin, très loin des cours, stages et spectacles de danse africaine qui font croire que la création chorégraphique africaine passe nécessairement par l’imitation, la copie ou la parodie des danses classique, moderne ou contemporaine. Oui, la création existe en danse africaine.

Pour plus d’informations sur la danse africaine méthode Tierou, retrouvez-nous sur www.tierou-doople.com.

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